"Vieux" cimetière de Fougères

 Plan du vieux cimetière réalisé dans les années 1950 par le secrétaire de mairie Louis Chasset (1895-1957).


ʺVieux cimetièreʺ de Fougères 

Fougères sur Bièvre possède à ce jour deux cimetières : ʺle vieux cimetièreʺ objet de cet article, situé ʺaire des Diables Blancsʺ, accès rue Amable Quenioux (adresse actuelle) et ʺle nouveau cimetièreʺ situé route de Cour Cheverny à la sortie Est du village (voir photo aérienne en fin d'article). Ce nouveau cimetière reçoit les sépultures des défunts depuis le tout début des années 1970 (Henri Goyer étant alors  maire depuis 1965) donc depuis plus de 50-55 ans.

Cet article est dédié à Cécile Amiard-Liger (1925-1997). Elle fit le travail de recherche des délibérations concernant la création de ce cimetière et les publia dans le bulletin d'informations municipales de l'année 1987 alors qu'elle était maire adjointe (article anonyme). FC 08/2025

Rappel Historique :

C’est au IVème siècle que s’introduit l’usage d’enterrer les morts dans les églises, ou autour de celles-ci . Au moyen âge, la croyance voulait que plus les morts étaient enterrés prêt d’une église, moins de temps ils attendaient pour aller au purgatoire … Vers 1946, lors d’une restauration du parquet de l’église Saint Éloi, les menuisiers retrouvèrent des ossements à fleur de sol. De même au début des années 1990, lors de la restauration du pavage du parvis de l’église, l’entreprise locale Brisemur retrouva également des ossements . Beaucoup de villages de France ont encore cette particularité.


Emplacement de l'ancien cimetière supprimé en 1829, actuelle place de l'abbé Leduc.




DÉCRET IMPÉRIAL DU 23 PRAIRIAL AN XII : 

Un décret du 23 prairial an XII (13 juin 1804, Napoléon est empereur depuis moins de 1 mois) ordonne à toutes les communes de France la translation de tous les cimetières entourant les églises à une distance de 35 ou 40 mètres hors de l’enceinte des villes et/ou des bourgs. Des servitudes, protectrices de la santé publique, sont en même temps établies autour des cimetières et sur l’emplacement des cimetières désaffectés.

Au Palais de Saint-Cloud le 23 Prairial an XII

Napoléon, par la grâce de Dieu et les constitutions de la République, Empereur des Français ; sur le rapport du Ministre de l’Intérieur ; le Conseil d’État entendu, décrète :

TITRE 1er

Des sépultures et des lieux qui leur sont consacrés.

Article 1er

Aucune inhumation n’aura lieu dans les églises, temples, synagogues, hôpitaux, chapelles publiques, et généralement dans aucun édifices clos et fermés où les citoyens se réunissent pour la célébration de leurs cultes, ni dans l’enceinte des villes et bourgs.

Article 2

Il y aura hors de chacune de ces villes ou bourgs, à la distance de trente-cinq à quarante mètres au moins de leur enceinte, des terrains spécialement consacrés à l’inhumation des morts.

Article 3

Les terrains les plus élevés et exposés au nord seront choisis de préférence; ils seront clos de murs de deux mètres au moins d’élévation. On y fera des plantations, en prenant les précautions convenables pour ne point gêner la circulation de l’air.

Article 4

Chaque inhumation aura lieu dans une fosse séparée ; chaque fosse qui sera ouverte aura un mètre cinq décimètres à deux mètres de profondeur, sur huit décimètres de largeur et sera ensuite remplie de terre bien foulée. 1

Article 5

Les fosses seront distantes les unes des autres de trois à quatre décimètres sur les côtés, et de trois à cinq décimètres à la tête et aux pieds.

Article 6

Pour éviter les dangers qu’entraîne le renouvellement trop rapproché des fosses, l’ouverture des fosses pour de nouvelles sépultures n’aura lieu que de cinq années en cinq années ; en conséquence, les terrains destinés à former les lieux de sépulture seront cinq fois plus étendus que l’espace nécessaire pour y déposer le nombre présumé des morts qui peuvent y être enterrés chaque année. 2

                                                                                     TITRE II

De l’Établissement des nouveaux cimetières

Article 7

Les communes qui seront obligées, en vertu des articles 1 et 2 du titre Ier, d’abandonner les cimetières actuels, et de s’en procurer de nouveaux hors de l’enceinte de leurs habitations pourront, sans autre autorisation que celle qui leur est accordée par la déclaration du 10 mars 1776, acquérir les terrains qui leur seront nécessaires, en remplissant les formes voulues par l’arrêté du 7 germinal an 9.

Article 8

Aussitôt que les nouveaux emplacements seront disposés à recevoir les inhumations, les cimetières existants seront fermés et resteront dans l’état où il se trouveront, sans que l’on en puisse faire usage pendant cinq ans.

Article 9

A partir de cette époque, les terrains servant maintenant de cimetières pourront être affermés par les communes auxquelles ils appartiennent, mais à condition qu’il ne seront qu’ensemencés ou plantés sans qu’il puisse y être fait aucune fouille ou fondation pour des constructions de bâtiment, jusqu’à ce qu’il en soit autrement ordonné.

 

Différentes délibérations du conseil municipal de Fougères traitent du sujet dans les années suivant ce décret : Et il va falloir 25 années pour que le nouveau cimetière soit établi selon les règles fixées par ce décret impérial !

 EXTRAIT D’UNE DÉLIBÉRATION DU ʺ25 MAY 1812ʺ : ʺ Le cimetière de Fougères est dans le cas de la suppression comme étant contigu à l’église. Le conseil, vu l’offre faite par Mr Lambot de Fougères, principal propriétaire de la Commune, de fournir gratis un emplacement convenable à la transition du dit cimetière, à sa charge seulement de conserver dans le dit cimetière un endroit marqué et destiné uniquement pour sa famille, en réfère à Mr le Préfet pour faire la désignation du terrain le plus convenable en y envoyant Mr le voyer du départementʺ 

EXTRAIT D’UNE DÉLIBÉRATION DU ʺ11 SEPTEMBRE 1814ʺ : ʺ Aujourd’huy, Dimanche Onze Septembre mil huit cent quatorze Mrs Cretté Maire de Feings et Bourgaillat Maire de Fougères ayant d’un commun accord convoqué par lettres missives remises à domicile à tous les habitants domiciliés et imposables des deux Communes dans la maison de Fougères, au Presbytère du dit lieu. La presque totalité des dits habitants s’y sont rendus à l’heure de Midy à l’issue de l’office divinʺ …..                                                                                                                                                               

 ʺ Mr le Préfet sera prié de donner son assentiment pour que les communes réunies acceptent la donation gratuite que Mr Lambot de Fougères a déclaré être dans l’intention de leur faire don de trois boisselées de terre à prendre dans une pièce à lui appartenant, le long de la garenne de Fougères et située au nord-ouest de la paroisse de fougères et à la distance de toute habitation, requise par la loi, à effet d’y établir un cimetière commun pour les deux communes, attendu que les deux cimetières actuels sont encore dans le centre des deux villages et d’une étendue insuffisante.ʺ   

ʺCette offre d’un emplacement pour un cimetière par Mr de Fougères avait déjà été relatée dans une délibération du conseil municipal en date du 25 MAY 1812, transmise à Mr le Préfet dans la décision et l’autorisation à cet égard deviennent de plus en plus urgentes, la seule condition imposée par Mr de  Fougères à sa donation est la réserve dans le dit cimetière d’un emplacement marqué et destiné pour la sépulture de sa familleʺ

Il était donc projeté de réaliser un cimetière unique pour les deux communes Fougères et Feings. Cela ne se fera pas. Feings transféra son cimetière à l'emplacement actuel en 1858. Les voisins de l'église de Feings trouvent encore actuellement des ossements humains dans leurs jardins…

EXTRAIT D’UNE DÉLIBÉRATION DU ʺ10 MAY 1818ʺ : ʺ Mr de Fougères a offert de donner en pur don à la commune de Fougères pour servir à établir un nouveau cimetière trois boisselées à prendre dans une pièce de terre à lui dans l’angle de la dite pièce formé par le chemin qui conduit de Fougères à Sambin à la seule condition de réserver près de la Croix qui y sera placée une étendue de vingt mètres carrés pour sa sépulture et celle de sa famille.ʺ

À cette époque la route de Fougères à Sambin n’était pas située rue Gallier (qui n’existait pas) mais en bordure donc, de l’ancien cimetière, actuelle entrée du stade…

 EXTRAIT D’UNE DÉLIBÉRATION DU ʺ30 MAY 1820ʺ : ʺ prévoyant que les fonds communaux seraient insuffisants pour subvenir aux dépenses de la translation du dit cimetière, qu’il faudrait recourir à un Impôt Extraordinaire, il a convoqué les plus imposés de la communeʺ  (Sur les 10 plus imposés de la commune, 6 seulement se sont présentés…)

ʺ la somme de huit cent francs sera perçue moitié en 1821 et moitié en 1822 et imputable à savoir : les quarts sur la contribution foncière et un quart sur la contribution mobilière. Et comme depuis la réunion des deux paroisses de Feings et de Fougères le cimetière de Fougères est tellement insuffisant , l’assemblée arrête qu’il sera proposé aux habitants de faire sans délai les fossés du nouveau cimetière par une prestation en nature volontaire afin de le mettre promptement en état de recevoir des inhumations.                                                                                                                                                                

Nous Maire  de la Commune de Fougères considérant que le moment est arrivé où aux termes des lois et règlements sur les sépultures le terrain de l’ancien cimetière peut être baissé au niveau de la grande rue du bourg ce qui aura pour avantage d’assainir l’église et de prolonger sa conservation, ainsi que de procurer aux habitants une place publique qui serait ombragée d’arbres et sur laquelle, ils pourront se réunir commodément pour traiter leurs affaires .

Considérant qu’il est probable que la Commune pourrait jouir dès l’année prochaine, du jour de foire et d’assemblée dont elle fait la demande, et qu’il est non seulement important mais nécessaire qu’avant ce jour, cette place publique soit disposée convenablement ce qui ne peut se faire que par l’enlèvement des terres qui exhaussent et rendent inégal le terrain destiné à la former.

Vu l’article 50 de la loi du 14 DÉCEMBRE 1789 le paragraphe 3 titre 2 de la loi des 16 et 24 AOÛT 1790 l’article 13 de la loi du 28 pluviôse an 8  l’article 9 du décret du 23 prairial an 12, arrêtons ce qui suit : Le terrain de l’ancien cimetière de la Commune de Fougères sera baissé au niveau de la rue du bourg et sera déposé pour former une place publique ombragée d’arbres. Les terres à enlever pour effectuer cet abaissement devant former un excellent engrais pour les terres, les habitants de la Commune sont à compter de ce jour, autorisés à les prendre et à les transporter où bon leur semble, mais ils seront tenus d’en séparer ……… tous les ossements qu’ils pourraient trouver et de les déposer dans le terrain qui sépare l’église du jardin du château où ils seront successivement amoncelés et où ils resteront jusqu’à ce que l’enlèvement des dites terres soit entièrement terminé.                                                                            

À cette époque, tous les ossements seront transportés au nouveau cimetière où une fosse commune sera préparée pour les recevoir. Ce transport sera fait à la suite d’une cérémonie avec toute la décence et le recueillement et le respect dû à la cendre des morts et surtout à celle de nos ……… tous les habitants ayant à leur tête les autorités …….. et religieuses seront invités à y assister et à accompagner processionnellement ces dépouilles respectables jusqu’au…….. où elles seront de nouveau inhumées.

Le présent arrêté sera lu dimanche prochain à l’issue de la messe paroissiale et affiché au lieu ordinaire des affiches de l’autorité.

Fait à Fougères, le huit novembre 1820. ʺ

 

EXTRAIT D’UNE DÉLIBÉRATION DU ʺ28 JUIN 1829ʺ : ʺ Le Dimanche 28 JUIN 1829, à l’issue de la messe paroissiale les ossements humains trouvés dans une superficie d’environ deux pieds et demi d’épaisseur, enlevés du cimetière tant par des particuliers que par la prestation en nature ont étés conduits processionnellement avec les cérémonies religieuses ordinaires pour les enterrements au nouveau cimetière, où ils ont été de nouveau inhumés dans une fosse creusée dans l’angle Nord-Ouest du dit cimetière. À cette cérémonie ont assisté le maire et l’adjoint avec leurs écharpes, un détachement de la Garde Nationale et la presque totalité des habitants de la commune. La quantité d’ossements ainsi transportés était assez considérable et le transport avait commencé la veille au soir et avait eu lieu dans des voitures. Celui qui eu lieu processionnellement se fit à bras.

C’est ainsi qu’a été exécuté l’arrêté de le Mairie du 9 illisible 1828 ʺ



Plan cadastral de 1862 (La Morinière). Flèche bleue du bas, ancien cimetière, place de l'église et en haut nouvel emplacement du cimetière depuis 1829. Sur ce dessin, on devine la nouvelle route de Sambin créée en biais à travers le bois de la Garenne. Le cimetière se trouve sur l'ancien chemin de Sambin.




Plan cadastral 1908 montrant l'aménagement définitif du cœur de bourg, carrefour, école route de Sambin (n°7), cimetière route d'Ouchamps (n°38)…

La particularité majeure de ce cimetière est d'avoir un cimetière particulier de part la volonté et le don (trois boisselées soit environ 1300m², le cimetière particulier faisant 20m²) de René Lambot de Fougères, fait baron en 1826. Il fut d'ailleurs le maire de 1828 à 1830. Né en 1767 (1768 sur la plaque de la sépulture !), il décède le 16 janvier 1849 au château de Boissay. Dans certaines biographies sa date de décès est 1859 !!! Je préfère retenir les dates de sa plaque funéraire (note FC). Il avait acheté le château de Fougères le 7 mars 1789. Il y créa la filature en 1812... 
Comme maire il sera assez efficace puisqu’en quelques mois, il fera des réalisations qui étaient discutées depuis longtemps (nouveau cimetière, assemblée de septembre…). Voir articles "les maires de Fougères" et "sous l'œil de dragon".

Sa sépulture est l'une des plus anciennes (1849) et l'une des plus sobres (photos ci-dessous)




QUELQUES PHOTOS DU VIEUX CIMETIERE DE FOUGERES



Vue aérienne des années 2000.



Vue aérienne des années 1990.


Vue aérienne Google.





Entrée du cimetière.


Entrée du cimetière particulier







LE CIMETIERE PARTICULIER (famille Lambot)

On y trouve les sépultures des membres de la famille de René décédé en janvier 1849, de ses fils et de nombreux descendants dont la sépulture de son petit-fils René Raymond Lambot, baron de Fougères, décédé en 1925, qui fut très longtemps maire de Fougères sur Bièvre à la fin du XIXème siècle et au début du XXème. Il y a de nombreuses sépultures d'enfants décédés en bas âge. On y voit également les sépultures d'un certain nombre de domestiques de la famille (voir plaques ci-dessous)


Sépulture René Marie Raymond Lambot, ancien maire de Fougères sur Bièvre.

Sépulture Comte et Comtesse de Quatrebarbes

Sépulture d'enfants




Sépulture de personnels de maison: 

"Ses maîtres n'oublieront jamais son long et fidèle attachement" ou "modèle de fidélité et de dévouement" 






Vieux cimetière de Fougères


Morts pour la France 14/18, 39-45, anciens maires et 3 curés


Des Curés de Fougères

184 : Croix : abbé Michel Moreau et abbé Éloi Petit         

323 : Abbé Georges Leduc


MPF 14-18 : 11 sépultures recensées, 12 Morts Pour la France

Tombes 4 : Coutely Auguste 52 : Refaix Henri  53 : Morisseau Anatole

    54 : Riverain Georges et Riverain Auguste  55 : Terterre Georges

         56 : Guéritte Martial  57 : Chabault René   58 : Legras Ferdinand

164 : Bigot Gustave 165 : Charbonnier Auguste 217 : Daridan Gaston  

 

MPF 39-45 : 4 sépultures

Tombes 47: Maurice Duchet 66 : Marand André (FFI) 67 : Cartereau Marcel  68 : Oury Marcel

 


 

Des Maires

  48 : Famille Prouteau (Hughes Joseph ancien maire et son épouse Arnault Désirée)

127 : Louis Gallier ancien maire

128 : Charles Girault, ce n’est pas un maire, ce fut un garde champêtre,

Charles Girault maire est décédé et inhumé à Feings,

178 : Alcide Bailleux ancien maire

229 : Natalis Devivaise ancien maire

304 : Amable Quenioux ancien maire

Cimetière particulier : deux anciens maires, René Lambot, baron de Fougères (créateur du cimetière) et Raymond Lambot, baron de Fougères, vues plus haut.

 

 


LES CURES DE FOUGERES
Allée d'entrée- Croisée centrale- Croix du cimetière sépulture des Abbés Petit et Moreau (XIXème)

Sépulture Abbé Leduc (XXéme)



Morts pour la France 1914-1918 (voir article consacré à ce sujet)

Auguste Coutely MPF 

Henri Refaix MPF

Anatole Morisseau MPF

Georges Riverain MPF et Auguste Riverain MPF


Georges Terterre MPF


Martial Guéritte MPF

René Chabault MPF

Ferdinand Legras MPF

Gustave Bigot MPF

Auguste Charbonnier MPF

Gaston Daridan MPF


Morts pour la France 1939-1945


André Marand MPF FFI

Marcel Cartereau MPF

Marcel Oury MPF

Maurice Duchet MPF



DES MAIRES (voir article consacré)

Joseph Hughes (famille Hughes-Arnault-Prouteau-Baranger)

Louis Gallier

Alcide Bailleux, chevalier de la Légion d'Honneur. 
La plaque du bas similaire concerne son fils décédé 5 mois avant lui (mêmes nom et prénoms) 

Natalis Devivaise


Amable Quenioux. Repose également Alexandre Quenioux-Thipot, longtemps Maire adjoint.



Pour terminer ce petit tour d'horizon, voici 2-3 sépultures de personnes ayant marqué l'histoire du village. Nous pourrions aussi publier des photos de nombreuses sépultures particulièrement intéressantes notamment pour la grande variété de croix (notamment métalliques). Le mieux est de se rendre sur place. 

Toute personne intéressée pour une visite commentée peut me contacter à mon adresse mail: docteur.coulon@wanadoo.fr


Sépulture Omankowsky-Triska, Les Diables Blancs

Sépulture Roger et Régine Morina, boulangers, parents de Jean Claude Morina, créateur de la biscuiterie de Contres


Des Croix



La petite remise


Annexe 1 : Avril 2024, Compte rendu de visite sur Facebook


Toute personne intéressée pour une visite commentée peut me contacter à mon adresse mail: docteur.coulon@wanadoo.fr

Avril 2024


En 2023 et 2024, j'ai photographié toutes les tombes du vieux cimetière de Fougères sur Bièvre. La grande majorité est en très mauvais état. C'est pourquoi j'ai réalisé ce travail afin de conserver des archives de ce patrimoine dans son état actuel, années 2024-2025. 

Ces documents seront remis aux Archives Départementales du Loir et Cher.
         
                                    François COULON Août 2025



Annexe 2: vue Google du nouveau cimetière route de Cour-Cheverny (avant 2015)


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